Présentation du blog - A lire avant tout lors de la première visite du blog

Noé est né le 3 novembre 2012, Alice le 28 décembre 2014. Depuis sa création il y a deux longues années (Mais Dieu que le temps passe...), ce blog est consacré à leur quotidien, leur environnement, leurs proches et moins proches. Vous y lirez surtout des tranches de vie qui se veulent pas "prises de tête". Un peu de légèreté dans un monde qui commence à en manquer singulièrement.

Bonne lecture !

Cécile et Olivier



vendredi 15 février 2013

Une rhino + deux vaccins = trois raisons d’être grincheux (première partie)


Finalement, Noé a non pas trois, mais quatre bonnes raisons d’avoir été grincheux au début de la semaine dernière. La première et pas des moindres a été l’absence de son père durant deux jours pour cause de formation à Lyon.
Ce petit calculateur de poche (il ne mesure que 58 cm, pas vraiment encore un basketteur) a bien senti qu’il y avait un coup à jouer pendant cette période. Dès le week-end précédant le départ de la figure paternelle, Noé a montré quelques signes de fatigue (cri qui grince, tentative de révolution, etc.) laissant présager un début de semaine rock’n’roll. Il a donc saisi l’opportunité de briser tous les codes que la petite famille avait jusqu’ici réussi à instaurer : une prise de biberon fluide et relativement rapide, des journées calmes parsemées de siestes et, surtout, une longue nuit de sommeil.
Mais c’était sans compter la rhino (pharyngite, pas céros ;-).
A ce stade de la réflexion, cédons la parole à Noé, le mieux placé pour expliquer à l’internaute ébahi ce brusque changement de comportement.
« Tout a commencé le lundi matin, vers 4 h. Je souhaitais faire culpabiliser mon cher père à propos de son départ imminent. J’avoue par ailleurs bien aimer stresser ma mère (sourire sadique). Une fois mon père parti, j’ai offert à ma mère une journée comme elle ne les aime pas, mais alors pas du tout : tourmentée et mouvementée ! J’ai multiplié par dix (j’exagère à peine) les temps de prises de biberon, raréfié et agité les siestes.
La seconde nuit fut la meilleure : j’ai attendu que ma génitrice sombre dans un sommeil qui se voulait réparateur pour sortir le grand jeu. Je me suis mis à geindre et à gesticuler dans mon petit lit à barreaux pour deux heures de « twist again ». Je m’en fichais, j’avais tous les droits, puisque j’étais malade, avec un pif aussi embouteillé que l’autoroute du soleil début juillet ! »
(après avoir repris son souffle – il a le nez bouché – Noé poursuit sa version, mais avec l’air passablement contrarié).
« Mais le lendemain, ma mère a pris sa revanche. Celle-là, je ne l’avais pas vu arriver !...
La suite très prochainement…

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