Présentation du blog - A lire avant tout lors de la première visite du blog

Noé est né le 3 novembre 2012, Alice le 28 décembre 2014. Depuis sa création il y a deux longues années (Mais Dieu que le temps passe...), ce blog est consacré à leur quotidien, leur environnement, leurs proches et moins proches. Vous y lirez surtout des tranches de vie qui se veulent pas "prises de tête". Un peu de légèreté dans un monde qui commence à en manquer singulièrement.

Bonne lecture !

Cécile et Olivier



mercredi 20 mars 2013

Noé Balboa


A quoi ressemble une prise de biberon quand Noé est viré comme une crotte (restons poli) ? Au remake d’un combat de Rocky Balboa, l’étalon italien. Le sang en moins.
Le ring : la salle de séjour
Le spectateur : Olivier Brunel (prononcez à l’anglaise, ça fait plus sérieux : Olivier Bwounewl)
Les deux boxeurs :
A gauche : Noé Balboa, 62 cm, 5,7 kg, surnommé « L’étalon port-vendrais » et, quand il a faim, « L’estomac dans l’étalon port-vendrais » (elle est nulle, mais elle devait sortir).
A droite : Cécile Guillaume (prononcez à l’anglaise, ça fait plus sérieux : Cécaïle Guillaoum). surnommée « Le cordon bleu des Néréides ». Mensurations… ça ne vous regarde pas.
L’enjeu : l’ingurgitation par Noé Balboa de 210 ml de Lemiel® sous la contrainte du « Cordon bleu des Néréides ».
Premier round. : phase d’observation. Bien calé dans les bras de Cécaïle Guillauoum, Noé adopte la stratégie du gentil poulet et avale tranquillou 100 ml. Avantage « Cordon bleu ».
Second round : Noé sort brusquement de sa léthargie. Il évite la tétine grâce une superbe esquive gauche-droite de la tête. Le lait gicle sur le menton. Fa-bu-leu-se ! Oui, sa technique pour contrarier sa mère est tout simplement fa-bu-leu-se !!!!!
Le combat dure près d’une heure. Mais, trêve de suspens, le « Cordon bleu des Néréides », à bout de nerfs, arrivera tout de même à ses fins. Acculé dans les bras de sa mère, bloqué grâce à une clé du bras gauche (chut ; ne dites rien à la DDAS) Noé ne peut que baisser la garde et, millilitre après millilitre, déposer les armes en vidant le bib. En guise de soumission, il lâche un ultime rot qui veut dire clairement : « C’est bon, t’as gagné, mais je n’ai pas dit mon dernier mot. Prochaine manche ce soir, au dernier bib, face à Oliver Bwounewl ».
La vie est un éternel recommencement…

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