Présentation du blog - A lire avant tout lors de la première visite du blog

Noé est né le 3 novembre 2012, Alice le 28 décembre 2014. Depuis sa création il y a deux longues années (Mais Dieu que le temps passe...), ce blog est consacré à leur quotidien, leur environnement, leurs proches et moins proches. Vous y lirez surtout des tranches de vie qui se veulent pas "prises de tête". Un peu de légèreté dans un monde qui commence à en manquer singulièrement.

Bonne lecture !

Cécile et Olivier



mardi 26 mars 2013

Ma semaine d’adaptation (ma mère, c’est la plus angoissée)

Ma semaine d’adaptation chez nounou s’est terminée sans pleurs et sans bobos. Ma mère a fait les choses bien, elle m’y a envoyé doucettement (évidement sur les conseils de nounou). J’ai commencé lundi avec une petite heure pour progressivement arriver en fin de semaine à une journée complète.


Chez nounou, il y a tout ce qu’il faut : des nouveaux jouets, un parc, des marionnettes, des histoires, j’y ai même retrouvé mon Lémiel et aussi mes couches (elle est pas forte nounou !). Il y a aussi deux superbes nanas mais attention, pas des bébés, des adultes, des caïds. Par peur des représailles je ne les nommerai pas. Mais sachez que « K », la plus grande a au compteur plus de 20 mois affichés et « M » doit en avoir entre 10 et 12. Je ne fais pas trop la loi quand elles tournent autour de mon transat. Je vérifie que je suis bien harnaché et que nounou se trouve à portée d’œil mais j’ai une arme fatale « mon sourire désormais légendaire », celui qui fait fondre la glace. Heureusement pour moi, j’ai très peu de cheveux ce qui m’évite de les voir arracher par le «Girls band ».
De temps à autre, nounou envoie un message à maman pour dire que tout se passe bien ou une photo de moi en train de dormir. Ça la rassure, elle se ronge les doigts pour ne pas envahir la messagerie de nounou. Oui, de nous deux, c’est vraiment elle la plus angoissée. Pourtant lorsqu’elle me dépose chez nounou, j’arbore un beau sourire (toujours le même) pour lui faire comprendre « Tu peux partir tranquille, je suis bien avec le « Girls power ».
 Au retour, heureuse de voir que j’ai survécu aux différents assauts et embuscades qui m’ont été tendus tout au long de la journée, elle me couvre de baisers. Moi, je n’en mène plus large, je m’écroule sur mon transat profitant du calme ambiant, pas le temps de me retirer la veste, je dors profondément. Ah, les filles que c’est épuisant ! 


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