Un repas en groupe, amical ou familial,
représente toujours un moment particulier pour Noé.
Imaginez la scène.
Après l’apéro, tout le monde passe à
table.
Noé, qui ne dort pas, se retrouve, pour
sa plus grande satisfaction, calé « tranquillou » sur les genoux d’un
des convives.
Jusqu’au moment où quelqu’un d’autre
clame : « Tiens, passe-moi Noé !». Et un autre : « Après je le
prends ! ». Et encore un autre : « Puis c’est à moi ! ».
Résultat : le gamin vit, dès les premiers mois de sa vie que l'on souhaite longue et intense, une expérience forte. En décollant et atterrissant toutes les
trente secondes, toujours dans des bras différents, il ressent la fulgurante mais grisante impression de savoir voler.
Pour leur part, les parents trouvent que leur rejeton prend des allures de joint. A l'instar de ce petit cône de papier rempli de plein de substances prohibées qui fleurent bon la Jamaïque, il tourne autour de la table, passe d'un convive à l'autre en déridant l'assemblée et en déclenchant de bienvenus réflexes hilarants. C'est coooooooooooooooooool non ?
Pour leur part, les parents trouvent que leur rejeton prend des allures de joint. A l'instar de ce petit cône de papier rempli de plein de substances prohibées qui fleurent bon la Jamaïque, il tourne autour de la table, passe d'un convive à l'autre en déridant l'assemblée et en déclenchant de bienvenus réflexes hilarants. C'est coooooooooooooooooool non ?
Dorénavant, appelez-le « Rasta
Noé »… Yo man !
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